Chemins…

Deux hommes sur la route qui avancent…un arbre mort remis sur pied…des sons et des gestes…
la vie perdure…une tempête…ça continue…ça continue…

 

Le lieu : L’espace scénique est recouvert de feuilles, jonché de bouts de plastique et de vieilles ferrailles… Un arbre mort est allongé au sol. Rien de vivant ne bouge, on devine simplement le bruit des feuilles mortes balayées par le vent. L’image est fixe et pastel sans couleur. La vie semble s’être arrêtée là…

Les personnages : L’un incarne l’enfance, il s’amuse de tout, avec tout ce qu’il peut trouver. Il garde l’espoir de faire (re)vivre les choses malgré la dureté et la morosité ambiantes. Le deuxième est déjà expérimenté et semble être habitué à ce monde gris, il est immuable dans sa façon d’être, de bouger, de vivre. Les deux personnages vivent dans un monde post-apocalyptique, l’espoir d’une vie meilleure n’est pas envisagé, mais la vie a encore le mérite d’exister. A travers les expériences et les envolées de l’un, la musique et la force de l’autre, les 2 personnages se soutiennent et avancent encore dans un même souffle.

Distribution : Clément Gambarelli et Antoine Prost
Œil extérieur : Ophélie Brunet

Création 2017

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